5 septembre 2009
Prolifique
La végétation abuse dans ce pays humide où le soleil d'été ne la fige pas.
Et c’est toujours un choc après plus d’un mois d’absence
de découvrir ce prodige un peu étouffant.
Les haies atteintes de gigantisme
montent et étendent les bras en espérant se toucher
au-dessus de la grande allée qui mène à la route,
et le sureau n’en fait qu’à sa tête que je dois corriger régulièrement.
Ma brouette disparaît sous les coupes.
Heureusement, je dispose de mon coin en forêt pour déposer mes abondants déchets végétaux.
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