Disque perforé pour chanson d'été.

Bien alignées dans le pli d'une côte du palmier.

Une société a les rebelles qu'elle mérite.

(gare d'Alençon)

...mouches.



A l'odeur je repère le premier champignon de l'année.

Tiens, c'est une bite spongieuse au gland usé.

Tout jeune lézard : quelques centimètres envoutants.

Il me voit approcher lentement mon appareil photo, il me regarde.

Entre l'atelier et le fournil, au-delà l'esplanade de gravier,
le jardin est retenu par un muret,
avec allées, arbres, terrasse ronde, massifs...



Sur une vue aérienne qui date des années 70
on reconnait à gauche le pressoir rond, puis le préau, le garage et la salle de jeux, la laverie,
le séjour et la cuisine surmontés des chambres.

Devant la maison :
A gauche face au garage, le fournil avec l'arrondi du four
et son appentis pour la porcherie avec sa courette.
A droite face à la cuisine, l'atelier, et derrière lui, le chemin de l'entrée encadré de haies.
Devant l'atelier part l'allée dallée qui serpente sur la pelouse
et passe devant la tour de l'ancien cabinet.

Aujourd'hui les arbres ont terriblement grandi, d'autres ont disparu.

Depuis quelques années j'ai la chance de m'occuper de ce jardin.
Les grands-parents d'Henri nous ont laissé une belle maison et un grand jardin
tout en ayant la délicatesse de me réserver
beaucoup de choses encore à entreprendre de mon initiative.
De quoi m'amuser dedans et dehors.

Terre cuite vernissée de Provence et voiles de Normandie.

Entre vacances à la mer et vacances à la campagne,
une semaine de vacances à la ville avec un tour au jardin d'acclimatation.

Comme une mue de cigale accrochée à une tige de lavande.

Le soleil transforme les phares de la voiture en vitraux qui colorent le muret du parking.