il fait si doux que les pâquerettes fleurissent

Titus avec Maïa et Mambo, ses vieux compères de balade

les voisins se sont absentés et nous ont confié la tâche de fermer le poulailler ce soir

le matin on ouvre aux poules qui sont libres toute la journée et rentrent seules se coucher

c'est assez marrant de les surpendre dans leur intimité, sagement alignées sur leurs perchoirs

voilà un groupe de chiens bien contents

oh lala ! du soleil ! il y avait longtemps

flap flap flap flap

combat de foulques, à grands coups de pattes dans la gueule

réunion de perruches à collier dans les ifs pein de baies

imagine-t-on un canard perché en haut d'un arbre ? un cormoran, si

et en rentrant, je laisse aux écureuils de cacahuètes sur leurs arbres favoris

elle est touchante cette grosse oie blanche à suivre la troupe des bernaches depuis qu'elle a perdu son accolyte

elle était drôlement contente de voir Titus cette joyeuse petite chienne

elle l'a suivi pendant un long moment en redoublant de mimiques et d'invitations au jeu

elle a dû être bien déçue, Titus a fait comme si elle n'existait pas

Titus et moi récupérons de notre si mouvementée fin de voyage

sur le zinc qui prend le bleu du ciel, les 2 corneilles qui attendent que je leur lance à manger dans le jardin

je découvre au fond d'une petite impasse une vieille baraque en bois rouge comme une grange américaine

j'aperçois un joli petit faucon perché dans un grand pin, mais quand je sors mon appareil, il me tourne la tête