j'ai apporté un reste de semoule gros grain, et j'ai vu une petite famille de foulques sur l'île

j'ai été surprise qu'elles arrivent sur moi en courant sans crainte aucune

puis j'ai été scotchée par les pattes de ces oiseaux ! incroyables !

dingue

le chanteur calamiteux et le vieux japonais déguisé en Picachu louche, 2 habitués du lac

les oies avec leurs petits, des grands déjà, des tout petits encore

l'eau coule à nouveau à la source du lac, et Titus est content d'en profiter

le pauvre petit cadavre d'un bébé rapace sur l'île de nos promenades

je l'identifie grâce à cette photo trouvée sur le net, c'est un bébé faucon

J'arrive à en photographier de temps à autre.

Précieux oiseaux, discrets, et pourtant proches de nous autres, promeneurs du bois. Ils nous regardent passer.

on fait un tour d'île classique quand Maïa marque l'arrêt devant la terrasse où nous prenions un cappuccino hier

une foulque et ses petits et les bernaches

et tout ce petit monde entraîne la jeune classe vers une exploration des bords du lac

il a fallu bien viser pour sortir sans s'en prendre une

famille cygne

famille monoparentale canard

pas grand monde dans notre bois, notre parc à nous, notre terrain à promenade quotidienne

j'ai raté la photo d'un joli écureuil au sol, et celle du pigeon marron n'est guère réussie

aux abords de la pelouse de Reuilly, on remarque des camions sans remorque

ils sont là pour démonter et emporter la foire du Trône

la foire, c'est terminé (terminés la circulation, le bruit, les papiers gras, les merdes dans les fourrés...)

zut, les pigeons sont de retour, ils ont de la suite dans les idées

j'ai déjà trouvé des petits branchages typiques de leurs nids à l'autre bout du balcon

je ressors mon truc des ballons qui s'agitent au vent, pour les éloigner

mais l'un d'eux s'est tout de suite transformé en citron...

et un orage se prépare, ça gronde

qui je vois monter au tronc d'un gros châtaignier à l'entrée du bois entre vélodrome et cimetière ?

un tout mignon écureuil !

puis on a fait le tour de l'île habituelle

on y a vu les oies habituelles encadrant leurs petits

on se promenait, comme souvent, avec Maïa et sa maîtresse

des chiens qui sont on ne peut plus dissemblables, et qui s'ignorent (surtout Titus l'indifférent)

durant toute la promenade, on croise des corneilles familières

il y a longtemps que nous n'étions pas allés dans le vieux bois, la météo nous y a poussés aujourdh'ui

les corneilles habituelles sont venues à notre rencontre, mais je n'avais rien pour elles

direction la piscine, et marchons à l'ombre !

mon joli petit baigneur

un petit bain et hop, Titus a voulu vite continuer la promenade

depuis des mois je tiens souvent Titus en laisse avec une télescopique, ce qui m'évite bien du stress

traversée chaude de la pinède aux tables de pique-nique

traversée fraîche du sous-bois longeant le ruisseau, je lache Titus de temps à autre

on retrouve la plaine qui a bien séchée pendant notre séjour à la campagne