Travail en cours
Ravitaillée en ficelle de lin blanc, je peux enfin donner son épaisseur aux pièces mises en forme avec la ficelle de chanvre écrue. Et je peux compléter mon jeu de construction, entre alphabet et ossuaire.
L'épaisseur blanche, généreuse et molletonnée, c'est ce qui donne corps et stabilité aux éléments constitutifs du n°178. Qui n'est pourtant pas ce qui saute tout de suite aux yeux, mais qui prend des heures de labeur répétitif.
Très bientôt (mais sans moi)
Jeudi prochain à Trizay (Charentes-Maritimes) c'est le vernissage de la grande exposition à laquelle je suis fière de participer, au milieu de grands noms de l'histoire de l'art textile, et d'artistes d'aujourd'hui.
Un bel événement.
J'y montre "La Ligne" (2016), "Les Chagrins Allongés" (2010) et "In Vivo" (2010).
Hélas, je ne serai pas au vernissage comme prévu, et j'en suis profondément désolée. Mon entorse ne m'autorise ni voyage ni visite.
Comment dire ma déception ?
Attendre le blanc
Entre alphabet et osselets
178 a b c et maintenant d
je termine le 4e module d'un n°178 ludique et aimable
mi chanvre mi lin, rembourré et sous-tendu, crocheté en fil continu
Détours et dérives
Petite mosaïque pour illustrer un mail envoyé ce matin au Québec en réponse à un courrier de la Biennale internationale du lin de Portneuf à laquelle je participe été 2019.
"Détours et dérives" est le thème sur lequel il faudra que je travaille dès cet automne.