Au bois, à mes risques et périls
quand j'ai vu que Titus avait envie d'aller dans le vieux bois, je l'ai suvi, il y a si longtemps
la tempête a fait tomber un arbre à l'entrée du bois
et un hachis de petites branches et de feuilles parsème les allées
nous voilà au rond-point de l'allée royale
au loin, le château, menacé par un nuage terrible
la pinède aux tables de pique-nique est déserte
il faut dire que le temps est instable
arrivés au troncs aux champignons, il commence à pleuvoir, et je n'ai rien emporté pour me protéger !
on poursuit tant bien que mal jusqu'au lac, et là, l'averse redouble, nous restons à l'abri sous les arbres
on se décide à poursuivre jusqu'en ville, où, trempés comme des soupes, on téléphone à la maison pour qu'on vienne nous apporter un parapluie, protégés par un buisson taillé qui déborde d'un jardin
quand le parapluie arrive, l'averse cesse
Il fait chaud
Titus et les copains
La promenade quotidienne
Retour au lac
les 2 familles de bernaches déjà croisées la semaine dernière
parents exemplaires encadrant leurs progéniture pour une balade sécurisée
une foulque, elle monte sur son nid vu la semaine dernière, se met précautionneusement en position de couver
et, on ne peut comprendre pourquoi, soudain elle pique un oeuf dans son bec, descend du nid et le noie
une autre foulque arrive et vient picorer les oeufs restants, la couvée est dévastée
tous les parents ne sont pas comme les si attentifs parents bernaches