en juillet 2022, j'avais attaqué le côté de la pente envahi par la liane qui avait même recouvert les arbustes

mais la chaleur et les insectes piqûeurs m'avaient vite découragée

et voilà le résultat après l'effort intense de mon séjour actuel

une pente dégagée, que j'ai recouvert de végétal partiellement décomposé mais ultra sec

la nature devrait se charger de verdir l'endroit (encore faudrait-il qu'il pleuve de temps en temps...)

et la lumière nouvelle va stimuler la végétation des arbustes qui vont s'étoffer du côté jusqu'alors misérable

patience et espoir

le jardin a tellement souffert de la sécheresse de ces derniers étés et des canicules estivales

archive : en mai 2009, l'endroit était si vert ! incroyable ! on a oublié cet aspect forêt tropicale

dorénavant, il faut plutôt d'attendre à une âpre savane...

telle le bousier roulant sa crotte, j'avance en roulant ma grosse pelote de lianes vers le dépotoir à déchets végétaux

elle aime être à l'intérieur en compagnie des humains et des canins

elle entre et sort à sa guise

elle connait le jardin comme sa poche, du moins son niveau principal

elle aime les passages étroits, voire, impossibles

j'étais absorbée par mon grand nettoyage de la pente du jardin

quand mon attention a été attirée par un vaste groupe de grands oiseaux qui tournaient au-dessus de moi :

une cinquantaine de cigogne !

sans doute cherchaient-elles un endroit pour faire une pause pour la nuit

avant de reprendre leur remontée de la vallée du Rhône

un dimanche à météo panachée

sur ces hauteurs ardéchoises, le printemps n'est pas encore arrivé

les belles couleurs passées

et dans la vallée du Rhône, Valence, entre Ardèche et Vercors

promenade au parc juste à côté de la maison, avec ses canaux

et ses vigiles qui suivent prudemment nos mouvement

et à notre retour, les poules voisines attendent notre passage pour s'en distrairent