18 septembre 2009
Paris sur jungle
Fougères, euphorbes et herbes folles à l’assaut du musée du Quai Branly
comme une enclave de vie sauvage.
Dedans, le régal.
Chic : on ne s’y bousculait pas.
Et j’ai pu pieds nus (cause mal aux sandales)
partir pour la fiévreuse Océanie avant de me nicher
avec l’âme africaine dans les alcôves qui saillissent de la façade.
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