Nouvel épisode
Transversalement votre
Le soleil se couche et, les nuages s'écartent
Accrochage de septembre
les cubes en grappes (je ne sais pas pourquoi je persiste à monter des formes plus compliquées, alors que ces petits cubes suffiraient à mon plaisir, en vrac, en ligne, empilés ou glissés sous des sculptures en ficelle crochetée)
le n°186 et un bouquet jouent la paire minimaliste
le n°186 a atteint une étape qui aurait pu devenir son final, cependant, je vais le prolonger jusqu'au terme que je lui avais espéré, tout en conservant l'idée de cette étape pour la réaliser avec une pièce suivante
une rose trouvée une nuit sur le trottoir devant un fleuriste fermé, et un petit vase anonyme, mais pas impersonnel
J'ai fait une 2e structure courte identique à la 1ère
Jeux de jambes
J'ai terminé une 2e structure en plaques de grillage carré assemblées.
Elle est montée selon la même logique que la 1ère mais ses "jambes" sont plus longues de la hauteur de la 1ère.
Et j'ai craqué pour un vase d'Ionna Vautrin au Monoprix.
Je pense qu'il fera d'excellents bouquets.
un vase qui devrait bien fonctionner avec le n°170 "L'occupé noir" !
C'était plutôt désert Beaubourg aujourd'hui
A cause des travaux, on entre par derrière, et comme le café en mezzanine est fermé, on descend dans la fosse pour accéder au café provisoire, où il n'y avait personne pour me servir le café espéré.
Heureusement, il y avait le n°186 (emporté pour le travailler dans un jardin avant de m'apercevoir que j'avais oublié la pelote) pour me tenir compagnie.
Du coup il a posé, dans la fosse déserte et, dans un espace d'exposition vide, histoire de pouvoir se vanter d'avoir été exposé à Beaubourg
Puis je suis allée faire un tour au Musée d'Art Moderne du niveau 5.
Aubaine, personne dans le bureau d'André Breton, j'ai vite posé le n°186 pour une photo.
En rentrant, Titus l'a essayé, sans conviction.