derniers jours d'échaffaudage, il faut en profiter pour finaliser nos travaux de toiture

trouvés ça ou là, des morceaux de zinc nous servent à remplacer des manques et étanchéifier

on fignole comme on peut pour conserver au maximum les parties anciennes

la maison est prête, nous repartons

piove énormément, le jardin va être content, et la campagne autour aussi

une punaise s'est glissée sous une vieille poterie

la chaufferie a de l'allure avec sa symétrie et sa lanterne

on va faire rejointer les pierres du rez-de-chaussée

c'est là que sont installés la cuve à fioule et les meubles de jardin, ainsi que provisions de tuiles, et autres

en promenade dans la forêt, on a contourné le pré, de là on croirait un seul groupe de maisons, quelque hameau

en réalité la ferme de gauche est plus éloignée de notre maison qu'il n'y parait là

c'est fou comme la disparition des 2 pins sur la gauche a transformé l'impact visuel du bout de la maison

maintenant dégagé, on découvre sa découpe bien nette sur fond de ciel

derrière le rond en granit de l'ancien pressoir à pommes pour le cidre

et quand j'ai eu fini de peindre l'intérieur

je me suis mise à lessiver les portes avec énergie alors que j'avais déjà mal au bras

résultat : une inflammation effroyable du bras qui m'a fait passer une nuit épouvantable

j'ai appelé au secours pour rentrer dare dare en ville consulter mon médecin

et ne pouvant même pas conduire tant le bras souffre, on va venir me chercher

c'est la loose