terminer le mois de mai en ville sur la lit de sa môman

suis retournée au stade de France pour recevoir ma deuxième injection

moins de monde que pour la 1ère, bonne organisation, ça roule, vite fait bien fait

un musicien africain se chargeait de l'ambiance, et il y avait une équipe de tournage pour le suivre

l'entrée de la forêt est bouillonnante de genêts en fleurs, c'est magnifique

ma création d'il y a un an du côté du portail de la forêt est maintenant installée

la lumilère du matin tend de grandes ombres sur le gazon

et fait rougir les feuilles de cet arbre que je m'efforce de contenir

le figuier commence tout juste ses feuilles

le troëne s'ébouriffe

le buis est devenu gros comme tout, un pouf !

je suis tombée du lit, j'en profite pour faire un tour de jardin avec la lumière du matin

le tamaris en fleurs rend cet endroit encore plus beau

et mon massif d'iris refait l'an dernier pendant le confinement semble déjà installé depuis des lustres

on voit que les arrosages récents ont rattrappé un début de printemps plutôt sec

avec le soleil qui apparait soudain, tout se met à resplendir

rentrée bredouille de chez Emmaüs, où il y avait cependant ce tableau "charmant"

Adieu les vaches à lait, bonjour les vaches à viande !

L'exploitant de la ferme voisine a changé, les vaches aussi.

des mères et leurs veaux qui les têtent, pour de la viande bio dans 2 ans, le temps que les terres s'assainissent

un petit monde curieux de nous et surtout de Titus

tout est bien vert, le sureau (condamné pour être trop près du mur) est tout joli

le gravier est piqué de végétation, le gazon vient d'être tondu

le palmier fait ses fleurs grenues

et c'est le grand moment du tamaris : quelle chance on a !

temps variable, couvert et frais, mais on est content d'être là, au calme

et lorsque j'ai eu fini ma planche après les prises de vues

je me suis aperçue que j'avais oublié de photographier une pièce : tant pis pour elle