elles sont nouvelles (puisque réouvertes en décembre dernier après 14 ans comme coque vide !)

or les anciennes Nouvelles Galeries sont maintenant les Galeries de Valence, tout court

et je retrouve le sol en carreaux de ciment, cher à mon enfance, conservé et même blasonné en logo

et l'espace de l'ancien ascenseur dans la cage d'escalier magnifié par le passage au blanc et les suspensions

c'est luxe calme et volupté, et la terrasse est comme le pont d'un paquebot sur la mer de toits de ma ville natale

je suis contente

mon fils ainé admirant la belle vue depuis le restaurant sur les boulevards et la fontaine

Ttus et son petit frère attendent la fin des courses : mais qu'ils sont sages !

retour à la ville avec la pluie

en bas le trottoir, depuis le balcon de notre 9e

côté cuisine : chaque année la foire du Trône affronte averses et orages

Les n°119, 120, 121, 122 et 123 prenant la pose.
Comme il est compliqué de montrer son travail !
Je bricole des supports mais il me manque un bloc de bois pour en faire un 5e (ceux-là, sciés en 2, ont été oubliés sur la place par les techniciens qui ont démonté la patinoire début janvier).
Je cherche un arrière-plan mais la maison de campagne ne me propose que des fonds de caractère (ceci dit, j'adore les papiers peints des grands-parents).
Je n'ai ni éclairage d'appoint ni PATIENCE.

"l'opaciteur"

33 x 44 x 9 cm
sculpture en ficelle de lin crochetée en 1 seul fil ininterrompu + lien rouge

toujours sous contrôle pour résister au chaos herbeux, ici une vue sud ouest

côté nord : le rosier sauvage a beaucoup profité

côté est : les orpins foisonnent, les fougères prospèrent, les bruyères vont bien

ici, les sceaux de Salomon préparent leur floraison en hampes

la grosse fougère déploie ses belles crosses au bord du petit bassin

partout les arômes déplient leur unique mais grand pétale autour de leur pistil charnu

les 3 ifs sur leur butte réclament une nouvelle coupe

très fière d'avoir obtenu une jolie touffe de jacinthes sauvages rapportées de la forêt

qui côtoie les coucous rapportés du rebord des fossés qui longent les chemins