Pendant les vacances, j'ai isolé mes soucis (maintenant au nombre de 20)
de la poussière sous une cloche de verre.

(où on admire le 1/3-2/3 à l'horizontale et le 1/2-1/2 à la verticale)

dans la rubrique :

"autosatisfaction" ou "comment avoir le goût des riches sans leurs moyens"

Quand j'ai reçu le nouvel AD, j'ai regardé mon buffet entouré de ses trophées.

Un Vador de McDo que les enfants ont oublié au salon et que j'ai posé là depuis.

Le n°50 (de la série "croix rouge") en formation.

[AD n°102 Juillet-Août 2011, p. 82 et 52]

sur la rambarde du balcon, contemplant la vue depuis notre 9ème

Elles sont des milliards ces minuscules bestioles volantes
qui forment nuées au-dessus des platanes
et pénètrent dans les pièces, le linge qui sèche, les bouches...

Grâce à Sab400 je sais qu'il s'agit du Tigre !

C'est un envahisseur, arrivé d’Amérique du Nord en 1964 à Padoue (Italie),
et repéré à Antibes en 75, c'est un nuisible
qui dessèche les platanes en les suçant et les infecte avec des champignons.

A raison de 3 à 4 pontes de 200 à 350 oeufs par an,
les arbres se défolient vite et prennent un aspect très vilain.

C'est donc aux tigres que je dois les souffleurs de feuilles
qui passent tous les quatre matins faire un boucan d'enfer sous nos fenêtres.

à saison cruciale son chemin crucifère

quand entre arc et croix, le métro fait écho à la cathérale

"Miséricorde"

dyptique en ficelle de boucherie crochetée

rouge 54 x 27 x 5 & blanc 24 x 24 x 20

"Croix rouge trous blancs"

ficelle de boucherie crochetée

32 x 43 x 11

(merci à Sophie qui m'a soufflée un titre qui peinait à venir)

papier sur le net lors de l'exposition en janvier 2012

Je suis passée voir une amie qui vendait ses porcelaines, fines et poétiques.
Or, en lui envoyant une photo, une chose à l'arrière-plan a attiré mon attention.

Une chose magnifique, fortuite, mystérieuse, puissante

Je ne suis pas fine cuisinière !
Pourtant, mes clafoutis malfoutus sont appréciés.

Une assiette de présentation très Nationale 7 (28 cm, Conran Shop).

Pourquoi je m'embête à faire pousser de pauvres plantes
quand viennent spontanément (mais à côté des massifs, hein) de magnifiques touffes,
spectaculaires, exubérantes, décorées de petits bijoux vivants.