La nuit des pendus
Mes enfants retrouvent toujours avec plaisir et effroi mes masques d'Halloween.
Cette année ils se sont pendus au manteau de la cheminée de la cuisine,
jusqu'à ce que mort s'en suive.
Mes enfants retrouvent toujours avec plaisir et effroi mes masques d'Halloween.
Cette année ils se sont pendus au manteau de la cheminée de la cuisine,
jusqu'à ce que mort s'en suive.
En ouvrant la maison pour les vacances de la Toussaint,
je découvre des grappes de coccinelles dans les encoignures des volets.
A deux ou vingt points, jaunes, oranges et noires
pratiquent sans façon l'anti-discrimination la plus décontractée.
après renseignements il s'agit là de la coccinelle asiatique
dont l'apparence varie du jaune au noir en passant par le rouge et de 0 à 19 points
sur l'européenne on compte 7 points dont 1 central à la nuque
il en reste beaucoup dans le jardin
mais elle est menacée par l'asiatique qui dévore tout et se reproduit plus
Fiac : foire aux vanités, mais pas seulement.
L'occasion de visiter sans façon une galerie incroyable et de s'y régaler
(entre deux haussements d'épaules).
Quelques unes des merveilles
qui justifient le temps passé dans la file d'attente et le prix terrible du billet.
La plus belle œuvre étant le local, ahurissant de beauté :
l'immmmense palais de verre.
(suivi d'une nocturne au Louvre, c'est autre chose que Porte de Versailles)
La pause entre les deux épisodes du chantier du séjour laisse le terrain libre
aux expérimentations déco les plus décontractées.
Les appliques arrachées du pilier ont donc laissé place
à trois poissons de papier (Petit Pan)
acheté plats et qu'on gonfle en leur faisant du bouche à bouche.
Ils oscillent gentiment au gré du courant (d'air).