Emso, merci pour le prix, mais je ne suis guère joueuse surtout si il s'agit de le distribuer ensuite et tout et tout.<br />
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Christine, c'est juste un au-revoir, j'aurai du mal dorénavant à consacrer autant de temps qu'avant à mon blog car je m'appartiens peu ces temps-ci.<br />
Voyez, je suis encore là et remonte le temps pour essayer de répondre à tous.<br />
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Sab : ha ha ha hi hi hi !<br />
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Génial Valerye.<br />
C'est vrai, une chose inachevée peut déjà avoir sa force. C'est signe de qualité, sans vouloir me vanter !<br />
J'ai d'ailleurs eu un professeur de dessin qui me l'avait dit : interrompu à tout moment, il faut que ça tienne la route.
oui c'est une très chouette idée ce pénétrable...Vais y réfléchir aussi. <br />
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Cela dit, même comme ça, ça me parle. J'aime bien les choses pour ce qu'elles sont...et même si elles ne sont pas encore quelque chose vraiment. Un côté un peu surréaliste où le geste compte plus que le but...
Quel commentaire formidable Chantal : j'adore ce genre d'intervention féconde.<br />
(C'est pour cela que j'ai demandé à Henri de répondre pour moi qui suis en vacances dans ma campagne).<br />
Cette histoire de pénétrable m'a littéralement enchantée.<br />
Et m'a ouvert des horizons.<br />
Merci.
Tu peux pas laisser la machine a spaghetti en route trop longtemps où tu seras envahie... Au plaisir donc de vite revenir déguster tes petites visites. bon voyage dame Henriette
Un appartement en ville et une maison à la campagne ; et une créativité originale pour les vivre :
chine et bricolage, jardin et pulsions artistiques, folklore personnel et curiosités modestes.