C'est vrai qu'un ciel aussi présent on le boit et c'est lui qui donne le goût du moment.<br />
A la campagne ce que je regarde depuis les fenêtres, c'est le jardin et la nature.<br />
C'est en ville que le ciel prend autant de place, vous avez raison de la souligner.<br />
C'est gentil de parler de "qualité" de mes écrits. J'ai fait le choix de textes courts, mais je les travaille pour les rendre légers, précis, digestes.<br />
Naturellement vous pouvez disposer du lien, c'est la règle du jeu. J'en suis flattée.
J'ai de mon appartement une vue sur paris où rien ne dit la ville lumière, la ville trésor...mais où le ciel changeant, la magie des toits, la laideur des antennes et la Tour Montparnasse qui disparait quand le temps est gris me parlent tous les jours, parfois nourrissant mon spleen, parfois me gorgent d'énergie.<br />
J'ai comme vous la chance de me réfugier à la campagne quand l'envie m'en démange, et j'ai toujours plaisir à retrouver cela, spectacle tout aussi immuable que changeant.<br />
j'aime beaucoup votre blog, la qualité de vos écrits, l'imaginaire qui en déborde.<br />
j'aurai plaisir à vous mettre dans mes liens si vous en êtes d'accord.
Je cadre pour obtenir mon effet d'horizon, mais je n'habite pas non plus un gratte-ciel, il existe un premier plan moins lointain.<br />
C'est heureux car j'ai déjà le vertige en montant sur un tabouret, et le balcon me procure des émotions morbides avec lesquelles je lutte.
J'aurais disposé de 3 buses, Sab 400, vous auriez eu droit à "triple buse !" parce que chez moi ça va par 3 !<br />
Ribambins, c'est vraiment excellent le "Orly farniente" de PP qui démontre un sens de la formule lapidaire assez réjouissant.
Un appartement en ville et une maison à la campagne ; et une créativité originale pour les vivre :
chine et bricolage, jardin et pulsions artistiques, folklore personnel et curiosités modestes.