Ça fait mal de regarder la chair boursouflée de l’arbre autour du barbelé,
les lèvres de la cicatrice qui suce au plus profond le corps intrus si blessant.
En même temps c’est beau comme une sculpture sur du vivant.
Cruel et beau.
Depuis le coin du jardin donnant sur la forêt et le pré aux vaches.