Louise, Artémis et moi
Dans la famille polymamelliforme, on demande la grand-mère.
(Les mamelles, le retour)
Artémis
Le belle Artémis (assimilée à Diane), jumelle d’Apollon.
L’Artémis du type de celle d’Ephèse est pourvue des attributs répétés
de son statut de déesse nourricière de la fertilité.
Elle règne sur la nature sauvage et les bêtes hors du joug masculin
ce qui a contribué à faire d’elle la déesse de la castration pour les psychanalystes.
La prise en charge de la castration délivrant de toute forme de soumission
fait accéder véritablement au langage, au langage de l’inconscient.
Artémis porte son temple sur la tête, il est soutenu par la parole.
“Sur sa poitrine il y a le fameux présentoir constitué de trois rangées de testicules de taureau.
Il symbolise l’assomption de la castration, le dépassement de l’Œdipe, l’Autre jouissance ;
c’est cette assomption de la castration qui marque le moment
où le désir cesse d’être soumis à l’idéal paternel.”
Un développement passionnant à découvrir ici :
http://www.psychanalyse-paris.com/926-Artemis-d-Ephese-deesse-de-la.html
(Les mamelles étaient donc des couilles !)