Maurice Ronet

Au bel âge, ni jeune ni vieux, il fut un homme à l’incroyable sex-appeal.
Sous l’élégance, le bad boy palpitait, auréolé d’une lumière noire.
Juste assez tourmenté pour être un peu inquiétant.
Cette voix à la résonnance un peu métallique, frémissante, fiévreuse.
Le regard par en-dessous, la commissure des lèvres décrivant un demi sourire,
il était parfaitement irrésistible.

Comments

[Louise]

Je me souviens que son vrai nom est Maurice Robinet.
Le sort avait au départ été un peu cruel avec lui, mais il l'a bien déjoué !

[Henriette L.]

Sophie ! Et je n'avais pas répondu à ton commentaire si sympa ! Que j'avais lu pourtant en son temps.
Burton. Cette peau grêlée et ces yeux limpides, ce contraste fait frémir... de convoitise.
Merci à Maria-Annik de me faire revenir par ici donc.

Je suis plutôt "Feu follet" mais les deux films ont des points en communs, naturellement.
Malle rencontrant Ronet c'est du costaud : un style, un magnétisme, une musique.

[Maria-annik]

julien tavernier...bloqué dans un ascenseur...florence marchant dans les rues mouillées de paris...la trompette de Miles et la contrebasse de Michelot...trop fort, trop beau, trop bon !

[Sophie L.L]

Tu as le génie des phrases de génie! "Même en homme
j'apprécie le vintage"! , c'est vraiment formidable!
D'accord pour Richard Burton, j'aime même terriblement ses trous dans la peau!
J'aime beaucoup aussi ton commentaire qui suit, sur lequel je m'éclipse sur la pointe des pieds!

[Henriette L.]

Oh ! Pardon Henri !